Une action particulière est menée sur les points de captage d'eau de l'Edon, St Fraigne, Houlette avec pour objectifs la réduction des doses de produits phytosanitaires et la mise en place d'agriculture biologique.
Une démarche particulière est menée aussi sur le bassin versant du Né surtout au niveau viticole ( réduction des intrants ) mais aussi auprès des céréaliers. Le bassin versant du Né est un secteur essentiellement viticole (Cognac). Pour répondre aux exigences des maisons de Cognac qui veulent de la traçabilité et le respect de normes spécifiques à cette production, la profession via la viticulture raisonnée a mis en place des actions de contrôles et la réduction d'intrants. La Chambre avec le concours d'Adour garonne et d'autres structures (département, région...) pilote ces actions. Il semble que l'activité céréalière existante sur ce secteur est moins active que la viticulture. Il a donc été convenu qu'il fallait développer l'activité céréalière dans la mise en place du programme...
La consultation départementale pour le SCAP se met en place, la participation de la CR a été refusé.
L'objectif, pour l'activité forestière est de valoriser les haies et toutes les parcelles de bois pour une utilisation locale et envisager le développement de l'agroforesterie.
La gestion des déchets passe par une utilisation agricole. Il est traité à Ste Severe 27 000 t d'ordures en sacs plastiques pour récolter 5 600 t de compost qui serait commercialisé sur la base de 16 €/t. Il est impératif que l'épandage de ce produit final soit compatible avec de bonnes pratiques agricoles et n'entraine pas de conséquences négatives... il faut savoir que 30 t de ce compost donnent 200 kg de plastique...
En 2011, il a été réalisé 150 contrôles pulvé.
En ce qui concerne les rendements, au niveau national, on peut prévoir des rendements records de l'ordre de 100 quintaux, en Charente, on prévoit 50 quintaux en moyenne ! et en tournesol, 20 quintaux.
2 installations de photovoltaïque de pleins champs de 1 ha chacune ont vu le jour en Charente pour 320 ha en étude. On note un refus systématique de l'administration.
