La viticulture française n’échappe pas à la crise agricole et connaît des difficultés financières et de restructuration.

De nombreux viticulteurs ne peuvent plus assumer les cotisations volontaires obligatoires levées par les interprofessions. Certaines d’entre elles affichent une extrême rigueur, ce qui est inacceptable et incongru : habituellement on ne tue pas son pourvoyeur de fonds !

Ainsi, la CR demande aux interprofessions de faire preuve de souplesse et d’accepter les impayés en ces temps difficiles de crise pour la viticulture française, et plus particulièrement languedocienne. Il faut que les viticulteurs puissent se recentrer sur leur exploitation pour la sauver car c’est elle qui les fait vivre. Et sans viticulteurs point d’interprofessions !

La CR demande également au ministre de l’Agriculture de ne pas presser trop le regroupement des interprofessions : mieux vaut une bonne fédération d’interprofessions qu’une grande interprofession trop hétérogène ! Le mariage de la carpe et du lapin n’a jamais été une réussite !

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