Dans le cadre de la diminution des matières actives proposées par la Commission européenne, l’Institut Français de la Vigne et du Vin (IFV) a achevé une analyse prospective inquiétante : des impasses techniques concernant l’oïdium, les tordeuses de la grappe ou la pourriture grise sont attendues.

En cas de forte pression, le mildiou deviendrait également problématique. Or, les viticulteurs ont déjà diminué de 40% leurs intrants. Sans solutions alternatives, les vignerons ne pourront plus protéger efficacement leurs vignes des maladies cryptogamiques. Ce qui entraînera forcément des répercussions qualitatives et quantitatives sur leurs récoltes, comme sur leur revenu.

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