Nous sommes en plein exercice de remise à plat de l’utilisation des fonds. Les aides nationales s’élèvent entre 8 et 10 Mio€ (il est impossible d’être plus précis, car l’agrégation des offices a entraîné celle des comptes, et il est difficile de tracer les dépenses filière par filière).

La tendance serait à utiliser le FEADER (2e pilier), qui fonctionne par cofinancement, afin d’augmenter mathématiquement l’aide perçue par le viticulteur. Mais le principal problème reste de mettre en place des outils adaptés à la viticulture, aujourd’hui en crise. Et là, le montant actuel des aides, même doublé par le FEADER, suffira-t-il ?

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