Le 11 juillet, Amélie Rebière, présidente de la CR 19, a rencontré Lucie Gentet, gendarme référent à la maltraitance animale, à la brigade de Seilhac.

Cet échange fut surtout l’occasion pour Amélie Rebière de rappeler la détresse humaine qui est souvent à l’origine de maltraitance animale. Le bien-être animal est évidemment une cause à défendre, mais pour la CR, il ne faut pas non plus oublier le bien-être des agriculteurs. Les gendarmes, parfois désarmés face à cette détresse, ont affirmé leur volonté d’être bienveillants à l’égard du monde agricole.

Il a également été question de la pression administrative, du manque de vétérinaires ruraux, de l’équarrissage, des contrôles, des problèmes de remplacement en cas d’accident… toutes ces raisons qui peuvent faire basculer un(e) exploitant(e) dans la détresse et provoquer un burn-out.

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