Le paysage azuréen pourrait changer dans les prochaines années. Ses élégants palmiers sont attaqués par un charançon et un papillon qui les dévorent de l’intérieur. Les pouvoirs publics font le mort et à “Hyères-les-Palmiers”, on songe à rebaptiser la ville “hier-les-palmiers”.
« Les palmiers vont disparaître, on va vers une catastrophe écologique et pour toute réponse on palabre » : Max Bauer ne décolère pas. Ce syndicaliste de la Coordination Rurale et président de l’Uniphor (Union Nationale des Intérêts Professionnels Horticoles) se bat depuis des années pour que les pouvoirs publics prennent à bras le corps la mort programmée des palmiers.
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