En 2019, nous étions à la tête de trois Chambres d’Agriculture : Haute-Vienne, Vienne et Lot-et-Garonne. En 2025, nous en comptons désormais quatorze, avec de belles victoires supplémentaires : Tarn, Lozère, Gers, Dordogne, Charente, Charente-Maritime, Indre-et-Loire, Loir-et-Cher, Cher, Ardennes et Gironde.

Une dynamique nationale incontestable

Ces élections confirment la volonté des agriculteurs de se faire entendre et mettre fin à la cogestion. Nos scores dépassent désormais les 30 % dans des régions clés telles que la Bretagne, les Pays de la Loire, la Normandie, la Picardie, la Nouvelle-Aquitaine et l’Occitanie, où nous sommes en tête. Dans le Haut-de-France, nous approchons les 40 %.

Une mobilisation sans précédent

Cette progression est le fruit d’un engagement fort de nos candidats et militantes. Nous avons présenté près de 1 800 candidats et candidates à travers tout le territoire, y compris dans les Outre-mer.

En nombre d’élus, la Coordination Rurale triple sa représentation consulaire, atteignant près de 400 sièges. Cette percée est particulièrement marquée dans le collège 1, mais aussi dans le collège 4 (victoires dans le Gers, la Haute-Vienne et le Lot-et-Garonne) et dans le collège propriétaire (Lot-et-Garonne et Bas-Rhin).

 

Les Chambres d’Agriculture vont redevenir de vrais outils au service des agriculteurs. Notre responsabilité est claire : faire en sorte qu’elles soient la maison de tous, avec des services concrets et accessibles. Notre priorité : maintenir un maximum de fermes sur nos territoires et d’aider les jeunes à s’installer dans des exploitations viables, vivables et transmissibles.

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