« Je suis agriculteur-céréalier au sud de Tours. Je subis beaucoup de dégâts, notamment de lièvres, sur mes cultures, et me sens donc concerné par ce problème.
Je cultive la terre, mais ne suis pas chasseur.
La question pourrait être la suivante : que vaut la parole des agriculteurs dans la gestion cynégétique ?
Depuis plusieurs années, c’est la Fédération de la Chasse qui se charge de la régulation des gibiers, cervidés, et s’engage également à indemniser de façon juste et équitable les agriculteurs concernés par leurs dégâts.
Qu’en est-il aujourd’hui ? Face à l’augmentation (comme en 2016) des dégâts de gibiers, est-il normal que la Fédération de la Chasse ne réagisse pas plus efficacement et rapidement ? C’est pourtant nécessaire et urgent.
De plus, afin d’améliorer le dialogue entre « agriculteurs » et « régulateurs - gestionnaires », peut-être faudrait-il tenir davantage compte de l’avis des premiers concernés, notamment lors de l’attribution des bracelets de chasse en quantité et par secteur. »
